L' Corona

… sur l’air de Chanson pour l’Auvergnat !


C’est malgré moi cette chanson
Toi l’ Corona qui sans façon
Nous donne ce jour le frisson
Quand l’ printemps est dans nos maisons

Toi qui nous fait vraiment flipper
Quand savants et gouvernement
Tous ces gens très bien renseignés
Nous disent de rester confinés

Ce n’est pas rien ce virus là
Car il nous prends à bras le corps
Et dans nos âmes, il nous dévore
À la manière d’un scélérat

Toi l’ Corona, quand on saura
Quand la médecine t’éradiquera
Qu’on te conduise à la poubelle
Oui à la poubelle

Elle est pour vous cette chanson
Mobilisés sur tous les fronts
Vous vous dém’ner sans compter
Afin de nous sécuriser

Pour vous aussi qui continuez
De toujours nous alimenter
Et pour ceux très mobilisés
Dans la solidarité sans compter

Ce n’est pas rien, c’est sans pareil
Et ils nous réchauffent le cœur
Et dans nos vies, un vrai bonheur
À la manière d’un grand soleil

Toi l’corona, quand tu mouras
Quand notre vie reprendra
Qu’on te conduise à la poubelle
Oui à la poubelle !

Domy, 23 Mars 2020

qui vous passe le message : « GARDEZ TOUS LE MORAL EN CHANTANT »

3 réflexions au sujet de « L' Corona »

  1. Qui l’eût cru ?
    que l’on se contenterait
    de seulement voir passer des ombres
    ou même le soleil ?
    Qui l’eût cru?
    que ses défauts lui manqueraient
    qu’elle prendrait plaisir
    dans les petites choses
    l’eau qui bout, une tasse de thé
    que les petits moments qui ne signifiaient rien
    il y a quelques jours à peine.
    Retour aux sources et plaisirs simples

    J’aime

  2. Merci Domi, pour cette création 😉 Bien sûr, l’air est encore dans ma tête aujourd’hui ❤
    Et le printemps est arrivé sans qu'on le fête vraiment, alors si on faisait ici notre "printemps des poètes" comme me l'écrivait Marianne dans un de ses récents messages !?
    Alors pour sourire à la vie, je commence avec un poème d'Andrée Chedid qui aurait eu 100ans ce mois-ci:

    Renaître
    de Andrée Chedid

    Porté par le reflux des sèves
    Par ces paroles qui font l'été
    Par ces soleils gorgés d'échos

    Tu graviras cœurs et sentiers
    Tu ne cesseras de renaître
    Taillant brèches et mots
    Dans la paroi des jours.

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